Gonfle de son souffle la djellaba béante.
Tandis que le sable, s'évaporant au ciel,
Y mélange soudain ses ardentes étincelles,
Regard aux aguets, narines frémissantes,
Le méhari préssent la prochaine tourmente,
Et les hommes recherchent presque avidement
Un abri de fortune contre les éléments .