mardi 9 février 2010

Huile15 ( 27 x 41 ) : Le passeur



Il rame dans le matin brumeux
Que le soleil irise déjà .
Son ombre solitaire se détache
Comme une pauvre âme qui s'en va
Ne laissant de son corps qu'une tache
Sur le sombre versant rocailleux

3 commentaires:

Ced a dit…

Ca gondole un peu, non ?

Gregory Lopez a dit…

moi j'aime bien.

Anonyme a dit…

Eh oui !!! comme l'a dit le grand philosophe
RINGO également chanteur des années 60 " Laisse les gondoles à Venise le printemps sur la tamise"
Sa compagne de l'époque également écrivaine renommée dont le pseudonyme était je crois "SHEILA" lui répondait "on n'ouvre pas les valises on est si bien".
En attendant Superbe peinture Nanou.