Comme le fut autrefois le terrible Cerbère,
Surveillant de ses têtes les entrées de l'enfer,
Veulent dédier au diable une ultime prière .
Levant jusques au ciel leurs grands bras décharnés
Elles semblent vouloir puiser dans les cieux azurés,
La force de survivre encore à la fournaise
Que la dune alentours transforme encore en braises .
2 commentaires:
Surprenant de la part de notre artiste, ça change, et j'aime beaucoup. Sans parler du texte qui est magnifique !!!!!
tata mimi
Oui les textes n'ont rien à envier aux peintures !
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