La rizière frémit sous le vent ondoyant .
Alors, l'homme s'assoit et l'espace d'un instant,
Mesure l'amplitude de la tâche qui l'attend .
Près de lui, la bouche bée du vieux sac abyssal
Avalera bientôt la récolte estivale .
Mais pour l'heure, il profite de la brise matinale .
La chaleur de ce jour et puis l'humidité
Lui mangeront bientôt et le dos et les pieds .
Mais il doit accomplir son oeuvre herculéenne
Pour nourrir sa famille et quelque soit sa peine .
1 commentaire:
Beau garçon aux muscles saillants.
Bon là "je riz"
Bravo pour le sac et le vêtement
rien à dire ou à redire. Parfait
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