Dès le matin, il a repris sa longue errance
De son pas cadencé, par sa trompe qui balance .
Le grand mâle s'ébranle, rocher déraciné
D'un combat de grands chefs à jamais édenté .
Il cache dans la savane sa vieille peau gercée
Que le soleil voudrait encore parcheminer
1 commentaire:
Alors celui-là, si je ne me "trompe" il "m'épate" d'éléphant et je ne reste pas sur la "défense" pour les compliments amplement mérités.
Il est superbe !!!!!!
BRAVO !!!!!!!
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