Les grandes dames de la rue
Sous leurs bicornes impériaux
Surveillent de leur air pointu
Les chalands et les badauds :
Ceux qui courent dans le lointain
Pour ne pas rater leur train ;
Ceux qui sont sur les terrasses
Y consomment et s'y prélassent ;
Et puis, il y a ces gamines
Celles qui lèchent les vitrines ;
Ceux qui battent le pavé
En ayant l'air desoeuvré ;
Toute cette foule qui s'agite
Dans un monde qui va trop vite .
2 commentaires:
ON DIRAIT UN BUFFET.............BERNARD BIEN SÛR.........PAR CONTRE, ACCROCHE AU DESSUS D’UN BUFFET ÇA DOIT ÊTRE TOP
ENCORE UNE RÉUSSITE ENCORE BRAVO
Y'en a qui voyagent!
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