Gonfle de son souffle la djellaba béante.
Tandis que le sable, s'évaporant au ciel,
Y mélange soudain ses ardentes étincelles,
Regard aux aguets, narines frémissantes,
Le méhari préssent la prochaine tourmente,
Et les hommes recherchent presque avidement
Un abri de fortune contre les éléments .
1 commentaire:
Superbe, magnifique, beau, et quoi encore !!!!!
je ne sais plus !!!!
TATA MIMI
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